Procès des militants d’Ultime Liberté : une QPC suspend le jugement
Douze militants en accusation
Le 15 septembre à Paris, douze membres de l’association Ultime Liberté, qui milite pour le suicide assisté, ont été convoqués devant la justice. Ces retraités, vêtus de manière décontractée, font face à des accusations graves, notamment de « détention » et « importation en contrebande » de substances illicites. Ce procès soulève des questions éthiques et juridiques sur le droit à la fin de vie.
Un débat sur la fin de vie en France
Alors que le procès se déroule, le sujet du suicide assisté est au cœur des débats en France. L’Assemblée nationale a récemment adopté une proposition de loi visant à instaurer un « droit à l’aide à mourir ». Ce contexte législatif pourrait influencer l’issue du procès, alors que Claude Hury, cofondatrice d’Ultime Liberté, se présente comme une figure emblématique du mouvement.
